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Dernière mise à jour : 9 mai 2006 |
Mauritanie
Voir également :
Dette : Le CADTM rejette la décision du FMI sur la dette Dette : Dette des pays pauvres : la trahison du FMI Site(s) web : Confédération Générale des Travailleurs de Mauritanie : Organisation contre les Violations des Droits Humains (OCVIDH) : SOS Esclaves Mauritanie : Document(s) : L’établissement de la démocratie peut-il s’affranchir du règlement du “passif humanitaire” ? - Rapport de mission internationale d’enquête de la FIDH - 10 mai 2006 (PDF - 662.5 ko) La transition politique en Mauritanie : Bilan et perspectives - Un rapport d’International Crisis Group - 24 avril 2006 (PDF - 520.2 ko) Rapport annuel - Association SOS Esclaves Mauritanie - 2004 (PDF - 1.2 Mo)
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Une délégation de la FIDH menée par son Président Sidiki Kaba, s’est rendue en Mauritanie, à Nouakchott du 3 au 6 janvier 2006 pour faire le point sur l’agenda « droits de l’Homme » du régime de transition. La FIDH publie ce jour son rapport de mission d’enquête. [Lire] - 9 mai 2006 Déclaration sur les derniers développements de la grève des travailleurs de MKT Les travailleurs de la Société MKT assurant le transport et la logistique pour le secteur pétrolier en Mauritanie sont toujours en grève générale pour la 6ème journée consécutive. [Lire] - 19 octobre 2005 Déclaration de la CGTM à propos de la grève des travailleurs de la MKT Les travailleurs de la Société MKT de la branche du transport et de la logistique pour le secteur pétrolier en Mauritanie sont entrés en action de grève générale le vendredi 14 octobre 2005 à 12 heures, suite à une décision unilatérale et provocatrice de la Direction Générale de licenciement de 10 délégués du personnel et de 6 de leurs collègues, grève suivie et respectée par l’ensemble des travailleurs. [Lire] - 14 octobre 2005 Amnestie générale et libération des détenus politiques L’Organisation contre les Violations des Droits Humains (OCVIDH) en Mauritanie enregistre avec satisfaction l’amnistie générale décrétée par le Conseil Militaire pour la Justice et la Démocratie. [Lire] - 5 septembre 2005 Il n’y ni justice ni démocratie alors que les prisons regorgent d’innocents Les familles des détenus civils et militaires attendent toujours avec impatience la libération des leurs. Le désespoir et l’inquiétude commencent à faire jour après une si longue attente et les familles commencent à douter des promesses du Conseil Militaire qui gouverne le pays. Les détenus eux-mêmes commencent à se sentir comme des otages d’un jeu politique et d’un règlement de comptes avec lesquels ils n’ont rien à voir. [Lire] Observatoire mauritanien des droits de l’Homme (OMDH) - 24 août 2005 Prise de position de la CGTM à propos du coup d’Etat du 03 août 2005 La Confédération Générale des Travailleurs de Mauritanie réaffirme sa désapprobation de tout recours à la force comme moyen d’accession au pouvoir et prend acte des engagements pris par le Conseil Militaire pour la Justice et la Démocratie en espérant qu’ils se traduiront dans les faits. Elle invite le CMJD à associer les acteurs politiques, économiques et sociaux représentatifs à la gestion de la période de transition, pour des réformes susceptibles d’apporter des améliorations significatives sur la situation du pays, pas seulement sur le plan politique, mais aussi sur les plans économique et social. [Lire] - 8 août 2005 L’OCVIDH se réjouit de la chute du dictateur Taya L’Organisation contre les Violations des Droits Humains attend du Conseil Militaire pour la Justice et la Démocratie une prise de décisions révolutionnaires, de nature à asseoir la justice et la démocratie : deux vecteurs essentiels pour la paix et le développement. [Lire] - 6 août 2005 Soulagement et vigilance Le mercredi, 3 août 2005, les mauritaniens ont constaté, dés les premières heures de la matinée, que les forces armées nationales ont renversé, sans effusion de sang, le régime vieux de plus de vingt ans, pour le remplacer par un Conseil pour la Justice et la Démocratie, lequel a promis de gérer une période de transition, de deux ans, au plus. [Lire] - 5 août 2005 Le verrou Taya a sauté, et après... La Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO) condamne sans réserve le coup d’Etat militaire survenu en Mauritanie le Mercredi 03 Août 2005. Elle a pris acte de la réprobation unanime par la Communauté internationale du coup de force. Il faut cependant se fier à l’évidence, l’éviction du Président Maouya Ould Sid Ahmed Taya, il faut l’interpréter comme le ’verrou’ d’une société totalement bloquée par l’exercice solitaire d’un pouvoir dont le trait spécifique est l’arbitraire, qui a enfin sauté. [Lire] - 4 août 2005 La FIDH condamne le coup d’Etat De sources concordantes, en l’absence du chef de l’Etat Maaouyia Ould Taya, des militaires mauritaniens, pour la plupart des membres de la garde présidentielle, ont perpétré mercredi matin un coup d’Etat à Nouakchott, en prenant le contrôle du siège de l’état-major, de la radio et de la télévision nationale. Depuis, des témoins rapportent que l’aéroport international a été fermé aux civils et que des tirs à l’arme lourde se sont fait entendre dans la capitale. [Lire] - 3 août 2005
Strategic Considerations for African Debt Campaigns - mars 2006 - By Soren Ambrose, Solidarity Africa Network - In 2005 the IMF, World Bank, and African Development Bank, responding to proposals from the Group of 8 industrialized countries, promised to eliminate 100% of the debts they claim from 18 countries, 14 of them in Africa. The deal applies only to countries that have completed the Heavily Indebted Poor Countries (HIPC) debt initiative of the IMF/World Bank, a manipulative process that entices governments to adhere to devastating structural adjustment conditions for the promise of what has so far been very modest debt relief. - Source : IFIwatchnet Variation sur l’usage du coup d’Etat en Mauritanie - novembre 2005 - Par Mohammad-Mahmoud Ould Mohamedou - Issu d’un coup d’Etat, le Conseil militaire pour la justice et la démocratie assure vouloir rétablir l’Etat de droit. De fait, après les avoir condamnés, l’Union africaine et les Occidentaux ont vite pris langue avec les putschistes. C’est que le régime déchu du président Ould Taya semblait à la dérive. Affirmant ne diriger qu’un pouvoir de transition, la nouvelle junte démocratisera-t-elle vraiment le pays ? - Source : Le Monde diplomatique |
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