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Détentions arbitraires des militants et sympathisants de l’Opposition nationale 3 février 2008 - http://www.lddh-djibouti.org/ Suite aux rafles massives et l’interdiction faite aux Partis de l’Opposition nationale dénoncées par la Ligue Djiboutienne des Droits Humains (LDDH) le 2 février dernier, la police a aussi procédé à l’Arrestation Arbitraire de plusieurs dizaines de militants de l’Union pour l’Alternance Démocratique (UAD). Aujourd’hui 3 février 2008, à cinq jours des élections législatives mascarades en principe programmées pour le 8 février prochain, la Police vient de déférer cinq personnalités et le Parquet leur a juste signifié un mandat de dépôt, pour être immédiatement incarcérés à Gabode. Il s’agit de MM.
C’est vraiment paradoxal car l’incarcération de ce Syndicaliste de longue date compromet gravement la propagande de l’UMP seule en lice pour les élections, d’autant plus que le Parti au Pouvoir dans son récent programme électoral promet la réintégration intégrale de tous les Syndicalistes licenciés en 1995. Force est de considérer actuellement cette promesse comme farfelue, mais on verra après le 8 février 2008 le vrai visage d’une dictature foncièrement sournoise. En outre, le propre frère du Président Ismaël Guedi Hared est encore détenu à Nagad. M. Omar Guedi Hared apolitique est d’un âge avancé, les conditions de sa détention sont insupportables. La Ligue Djiboutienne des Droits Humains (LDDH) dénonce avec fermeté toutes ces Arrestations Arbitraires et demande au Procureur de la République la mise en liberté immédiate pour toutes ces personnes injustement détenues. La Ligue Djiboutienne des Droits Humains (LDDH) lance un Appel pressant à l’Union Interparlementaire (UIP), au BIT, à tous les Défenseurs des Droits de l’Homme, à Reporter Sans Frontière (RSF), à tous les pays amis du Peuple Djiboutien de prendre des mesures énergiques en rappelant aux dirigeants Djiboutiens la nécessité d’un dialogue urgent en vue d’éviter le chaos inéluctable ou la reprise d’un nouveau conflit urbain dans notre pays suite aux étouffements inexplicables de la libre Expression, les détentions inadmissibles en cette période très sensible. Il faut éviter à tout prix un bain de sang par la suite incontrôlable. M. NOEL ABDI Jean-Paul |
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