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Les sections africaines de Transparency International renouvellent leur appel en faveur d´une mise en oeuvre effective du principe de restitution des avoirs détournés octobre 2009 Les sections africaines de Transparency International et organisations partenaires, participantes de l’assemblée générale annuelle 2009 de TI appellent les gouvernements à respecter et à mettre en oeuvre le cadre juridique international sur le recouvrement des avoirs. La section française de Transparency International (TI France), avec le soutien de l’association Sherpa, a déposé le 9 juillet 2008 et renouvelé le 2 décembre de la même année, une plainte, devant les tribunaux français, pour « recel de détournement de biens publics » à l’encontre des chefs d’Etat du Gabon [1], du Congo-Brazzaville, de la Guinée-Equatoriale et de certains membres de leurs entourages. Cette plainte repose sur une enquête de la police française démontrant que les personnes visées possèdent en France un patrimoine considérable (patrimoine immobilier et multiples comptes bancaires), suspecté d’avoir été constitué avec de l’argent public détourné [2]. L’action en justice engagée par TI France a déjà contribué à sensibiliser les opinions publiques africaines et internationales sur le fait que des avoirs détournés provenant de pays en développement peuvent, en toute impunité, trouver refuge à l’étranger. Surtout, elle démontre qu’il est possible de combattre cette impunité en mettant à profit les outils fournis par le droit international. Ainsi, nous, sections africaines de Transparency International et organisations partenaires, participantes de l’assemblée générale annuelle 2009 de TI et signataires de cet appel,
Le Congo-Brazzaville, le Gabon, la Guinée-Equatoriale et la France ne sont pas les seuls Etats concernés par le recel de fonds publics issus de pays en développement. Les gouvernements ainsi que les organisations de la société civile, au Sud comme au Nord, doivent accentuer leurs efforts en faveur d’une mise en oeuvre effective du principe de restitution des avoirs détournés. En tant que sections de TI en Afrique, nous appelons ainsi :
Adoptée à l’occasion de l’assemblée générale 2009 de Transparency International par 14 sections africaines de TI et organisations partenaires : ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() [1] Le Président Omar Bongo Ondimba est aujourd’hui décédé. [2] Cette plainte, actuellement en cours d’examen par la justice française, a été déposée conjointement avec un citoyen et contribuable gabonais. Elle repose sur 34 procès verbaux de la police française démontrant que les chefs d’Etats visés et leurs entourages possèdent en France un patrimoine que leurs revenus officiels ne peuvent pas justifier. Elle repose également sur diverses sources (rapports d’organisations internationales, de parlementaires, d’organisations de la société civile et de journalistes), faisant état de forts soupçons de détournement de fonds publics à l’encontre des trois chefs d’Etat mis en cause. [3] Cf. notamment :
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